Les ONG utilisent de plus en plus de traceurs GPS pour surveiller la localisation et le statut de leur personnel sur le terrain. Lorsqu'ils sont utilisés correctement, les trackers peuvent aider une organisation à remplir son devoir de diligence et fournir au personnel sur le terrain une bouée de sauvetage en cas d'incident de sécurité, tel qu'un enlèvement. Et dans les endroits où les détournements de voitures et les vols sont courants, les traceurs GPS peuvent aider les organisations à suivre les véhicules et autres actifs et à les récupérer.
Cependant, pour fonctionner comme prévu, le bon traceur GPS, plateforme de suivi sécurisée et surveillance et réponse doivent tous être utilisés ensemble. Si un côté de ce « triangle de suivi » est manquant ou inapproprié, alors les trackers ne fourniront rien d'autre qu'une illusion de sécurité.
Le « triangle de suivi » se compose de trackers GPS, d'une plate-forme de suivi, ainsi que d'un système de surveillance et de réponse. S’il manque un côté du triangle, les traceurs GPS ne donneront qu’une illusion de sécurité aux ONG.Click To TweetIl existe une vaste gamme d’appareils et de plateformes sur le marché. Les principales différences résident dans la manière dont l'appareil localise l'utilisateur ou l'actif et dans la manière dont il communique ensuite cet emplacement – et parfois d'autres informations, telles que des messages courts – à la plateforme de suivi utilisée, ce qui constitue en soi un autre facteur clé.
La plupart des trackers personnels et de véhicules utilisent le système satellite GPS pour localiser l'utilisateur ou l'actif n'importe où dans le monde dans un rayon de 10 mètres. Certains appareils peuvent également utiliser la géolocalisation Wifi et la triangulation des tours de téléphonie cellulaire pour fournir des informations de localisation lorsque le tracker se trouve à l'intérieur, par exemple, ou peuvent utiliser le système satellite alternatif GLONASS. Les trackers peuvent ensuite utiliser le GSM (mobile/cellulaire), le Wifi et/ou l'un des nombreux réseaux satellite, tels qu'Iridium ou Globalstar, pour communiquer cet emplacement à la plateforme de suivi en ligne.
Chacune de ces technologies présente des avantages et des inconvénients. La technologie la plus appropriée dépend de l'emplacement dans lequel le personnel ou les actifs seront situés ou pourront être déplacés. Mais même lorsque la bonne technologie a été sélectionnée, d'autres facteurs doivent être pris en compte, par exemple si l'appareil doit être robuste, étanche et/ou discret et combien de temps la batterie doit durer entre deux charges. Il n’existe pas de solution universelle.
Pour les ONG à la recherche d’une solution globale et rentable, le marché peut être déroutant. Les questions clés à poser comprennent :
- Devons-nous suivre les membres individuels du personnel, les véhicules et autres actifs, ou les deux ?
- Les individus ou les actifs se trouveront-ils dans des environnements urbains ou dans des endroits éloignés, ou les deux ?
- En cas d’enlèvement, le personnel pourrait-il être déplacé des environnements urbains vers des sites éloignés ou vice versa ?
- Qui surveillera la plateforme de suivi au siège ?
- Comment réagirions-nous à une alerte de panique, à une barrière géographique brisée ou à un enregistrement manqué ?
En tant que partenaire Vismo et expert dans ce domaine, Open Briefing peut vous aider à répondre à ces questions et vous conseiller sur la solution de suivi adaptée à vos besoins et à votre budget sur les trois côtés du triangle de suivi. Notre approche modulaire signifie que nous pouvons répondre aux besoins de suivi de la plus petite organisation de défense des droits humains ou de la plus grande agence d'aide humanitaire.
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